Engagés pour la santé
Face à la désertification médicale (qui se généralise), à une population française vieillissante, à des modes de vie qui changent, à des professionnels de santé dont l’exercice a évolué, à des délais de plus en plus longs pour une consultation ou des soins et, pire encore, à des moyens en baisse depuis trop longtemps, les acteurs locaux doivent s’unir pour préserver l’offre et la qualité des soins sur leur territoire.
Ainsi, en 2016, la CCLO s’est engagée dans un Contrat local de santé (CLS). Ce dispositif vise à mettre en œuvre des actions de prévention, promotion, accompagnement et organisation des soins… au plus près des populations. Il est porté conjointement par les collectivités territoriales et l’Agence régionale de santé (ARS). Les différents acteurs du contrat : professionnels de santé, structures institutionnelles et médico-sociales, communes, mais aussi Département des Pyrénées-Atlantiques travaillent ensemble sur ces thématiques vitales.
La CCLO s’est associée à la communauté de communes du Béarn des gaves pour traiter plus globalement de ces problématiques sur le centre du département.
Le premier CLS (2016 – 2019) a permis d’enclencher des dynamiques et de nouveaux partenariats pour améliorer l’offre locale de santé.
Fort de cette réussite nous nous engageons dans un deuxième CLS, jusqu’en 2027.
Le 7 février dernier, à la CCLO, s’est tenu un comité de pilotage qui a validé unanimement les 24 actions des 4 axes du CLS : accès aux soins et coordination, favoriser l’autonomie, prévention et promotion de la santé, environnement favorable à la santé.
Créer de la richesse, de l’emploi, soutenir le commerce ou encore améliorer le logement ne suffisent pas à faire vivre un territoire. C’est pourquoi nous sommes aussi pleinement engagés pour que soit proposée une offre de soins décente et de grande qualité.
A Mourenx, le centre de santé Simone Veil a ouvert en ce début d’année en plein centre-ville et sa forte fréquentation est la preuve de son utilité au-delà de la ville. J’aurais le plaisir d’en reparler prochainement lors de son inauguration.
Le système de santé français est en crise ! Comme souvent en de telles circonstances ce sont nous, les collectivités, qui faisons le travail à la place de l’Etat, sans véritables moyens, en exerçant une compétence qui n’est pas la nôtre mais avec créativité à l’image de la zone de la passerelle (ex Saïca) à Orthez qui accueillera les nouveaux bâtiments de l’antenne locale du Centre Hospitalier des Pyrénées (CHP).
© senivpetro sur Les premiers travaux pour préparer la démolition de la tour des Célibataires ont débutés ces derniers jours, sous l’égide de CDC Habitat qui en est le gestionnaire. Le foudroyage est prévu le dimanche 26 novembre prochain en matinée afin de ne pas impacter la vie du centre-ville (commerces et services), de permettre au plus grand nombre d’y assister et aux foyers évacués d’être moins dérangés (travail, occupations…). Un périmètre autour sera circonscrit et les bâtiments les plus proches seront bâchés. Ne comptant plus aucun résident, les travaux commencent par la destruction de l’ancien hôtel (fermé depuis plus de dix ans) et le désamiantage complet de la tour. La tour de 17 étages a été construite en 1961, pour n’accueillir qu’un hôtel de 200 chambres (destinées aux célibataires travaillant sur le bassin de Lacq). Il ne verra jamais le jour et la tour deviendra un immeuble de 120 logements. Depuis des décennies la tour offrait une image dégradée de la ville. La rénovation engagée en 1996 ne fut pas suffisante pour la rendre de nouveau attractive. Elle ne correspondait déjà plus aux attentes de logement et petit à petit la vacance y est devenue importante. Si l’avenir de la tour fut une bataille politique, nous pouvons dire aujourd’hui que notre choix de démolition est unanimement partagé. La tour des Célibataires était le symbole de la création de la Ville-nouvelle, sa disparition sera le symbole affirmé de la nouvelle rénovation urbaine que nous avons mise en place depuis 2014 : offre de logements repensée, évolution notable des équipements et services, choix architecturaux actuels et appréciés… A la place de la tour, CDC Habitat va réaliser un immeuble de haute qualité environnementale, à l’architecture singulière et moderne, de 6 étages pour 22 logements sociaux, avec terrasse, parking souterrain, environnement végétalisé… Le gestionnaire immobilier occupera une partie du rez-de-chaussée pour ses bureaux, plus accessibles et plus adaptés à tous leurs locataires. Ne croyez pas que cette démolition symbolique pour notre ville soit un point final, notre action volontariste de rénovation urbaine va se poursuivre pour une plus grande qualité de vie de tou·te·s les Mourenxois·es. Hier le pays a connu une nouvelle journée de mobilisation massive contre la réforme des retraites du gouvernement Macron – Borne. L’allongement de la durée de cotisation et le recul de l’âge de départ à la retraite sont une vraie fausse bonne idée pour régler le problème du financement des retraites, si tant est qu’il y ait un problème. La recherche d’un équilibre financier pourrait se faire ailleurs : sur les compléments de salaire aujourd’hui non soumis à cotisation comme l’intéressement, sur les dividendes pour les salariés… D’autres leviers existent, le gouvernement sait bien trouver des milliards quand il le souhaite. Le fait que nous vivions plus longtemps est sans doute dû à un départ à la retraite à un âge décent et à notre système de santé. Or, aujourd’hui, l’état des moyens de santé publique est plus que dégradé et le gouvernement s’attaque désormais à la retraite de toutes et tous. Ce que défendent les travailleurs aujourd’hui ce ne sont pas leurs acquis, c’est une vision différente du partage des richesses. Notre société voit les différences de salaires se creuser comme jamais, avec des niveaux de rémunération sans maximum alors que le salaire minimum ne suffit plus pour vivre dignement. Cette réforme accroît les injustices : pour les femmes, pour ceux qui ont des carrières incomplètes (souvent dues à leur vie de famille ou à des difficultés personnelles), pour ceux qui ont commencé à travailler un peu tardivement… Je crois en la valeur travail. Je la crois essentielle à l’épanouissement de l’homme. Toutefois notre rapport au travail change, nous ne pouvons pas le nier. Nos attentes sont différentes et ne vont pas à l’encontre de la bonne marche du pays. En ce 1er février, les coûts de l’électricité bondissent de 15 %, les péages augmentent, faire le plein atteint de nouveau les 2 € le litre, la durée de l’indemnisation chômage est réduite (par ce gouvernement), le coût du logement n’a jamais été aussi élevé depuis 30 ans (rapport de la Fondation Abbé Pierre de ce jour), les associations de distribution de denrées alimentaires voient la demande exploser, le taux de rémunération du livret A – bien qu’en hausse – ne rejoint pas celui de l’inflation… Cette liste désastreuse est bien trop longue. Tout ceci nourrit la fracture sociale ! Alors dans une République qui affiche égalité et fraternité sur le fronton de ses édifices, il serait bon que le gouvernement entende que ceux qui défilent aujourd’hui ont contribué à un front républicain qui finira par céder si le peuple n’est pas entendu. Hier, mercredi 25 janvier, avec le préfet des Pyrénées-Atlantiques, Julien Charles, le président du conseil départemental, représenté par Jacques Pédehontaà, nous avons signé la convention d’opération de revitalisation du territoire (dans le cadre de Petites villes de demain). A cette occasion, le nouveau préfet des Pyrénées-Atlantiques a pu découvrir les deux villes-centres de notre territoire. A Mourenx, sur les fondations d’un patrimoine qui se dégradait, avec mon équipe municipale nous nous sommes engagés pour offrir à la ville éphémère un avenir durable par la réhabilitation et la diversification de l’habitat ainsi que la modernisation d’équipements et de services. Le représentant de l’Etat a pu apprécier nos projets mourenxois, tel celui de la construction d’une nouvelle résidence à la place de la Tour des Célibataires (dont la démolition est prévue pour cet automne). L’ouverture du pôle de santé Simone Veil, en ce début d’année, est un événement pour la commune et le Bassin de Lacq. La requalification de cette friche commerciale vient contrer la désertification médicale de notre territoire. Dans quelques semaines le pôle de santé comptera sept médecins généralistes (SANTAT), deux cabinets infirmiers, un cabinet dentaire, un de psychomotricité, un de sage-femmes, un ostéopathe, un pédicure-podologue et un téléophtalmo. A l’image du bassin industriel qui a lui aussi engagé sa reconversion, du Bourg à la Ville-nouvelle, Mourenx est entrée dans le futur. La suite de la visite Petites villes de demain s’est déroulée à Orthez où la ville et la CCLO ont défini deux secteurs porteurs d’enjeux de requalification urbaine. Tous ces projets illustrent l’engagement de l’intercommunalité au côté de ses deux villes-centres. L’Etat et les partenaires et financeurs publics en sont conscients, la communauté de communes de Lacq-Orthez est tournée vers l’avenir. Ce lundi 16 janvier, je me suis rendu à la centrale hydroélectrique de Baigts-de-Béarn à l’invitation de son maire, Guy Pémartin. Ce site de production d’hydroélectricité est composé d’un barrage et d’une centrale, gérés par EDF Hydro. Situé sur le gave de Pau, il produit en moyenne 38 GWh d’électricité renouvelable soit l’équivalent de la consommation annuelle en électricité de 15 700 personnes. Les questions de préservation de la biodiversité restent primordiales. A Baigts-de-Béarn, cinq ouvrages de franchissements permettent la continuité piscicole et un suivi rigoureux de la faune est également réalisé. L’entreprise publique d’énergie gère également deux autres centrales sur notre territoire à Orthez (Castétarbe) et Puyoô, produisant l’équivalent de la consommation annuelle en électricité de plus de 6000 personnes. Sur notre territoire nous disposons d’autres centrales hydroélectriques : Pardies, Castétis et une autre à Orthez qui sont gérées par d’autres fournisseurs et produisent environ 56 GWh. Je crois depuis longtemps que le développement de l’énergie hydraulique est indispensable dans le « mix-énergétique » pour une réelle transition énergétique. Notre politique volontariste dans le domaine des énergies renouvelables porte ses fruits. Entre le développement du photovoltaïque, du gaz vert (avec le méthaniseur de Mourenx, le plus grand de France), du biocarburant… et la présence de ces nombreuses centrales hydroélectriques, Lacq-Orthez est pleinement tournée vers les énergies renouvelables et fait de notre territoire un pôle de référence des énergies décarbonées. Lundi soir, lors du dernier conseil communautaire de la CCLO, le budget 2023 a été voté à l’unanimité ! 2022 aura été une année riche en projets et intense en actions territoriales, sur tous les plans, à la CCLO comme à Mourenx. Le renouveau économique est réel et visible de tous. Cette année, à Mourenx aussi, tant de choses ont été faites dans bien des domaines : le pôle de santé Simone-Veil va ouvrir en janvier, les travaux du gymnase avancent à grands pas, la résidence inter-générationnelle sort de terre, le pôle culturel a été inauguré et… la démolition de la Tour des célibataires est annoncée pour septembre… Samedi dernier, s’est tenu le séminaire de l’équipe municipale pour préparer un budget combatif pour faire face à la crise énergétique et à ses impacts sur tous. A l’heure où tant d’incertitudes planent sur notre monde, sur notre pays et même sur nos simples vies, je veux espérer que par nos actions locales et par un réveil national – tant attendu depuis si longtemps – nous saurons faire face à toutes ces crises. Je vous souhaite de passer de bonnes Fêtes de fin d’année, qu’elles vous soient source de joie et de partage. Il ne se passe pas un jour sans que l’on ne parle d’économie sur bassin de Lacq. J’aime à dire que tous les feux sont au vert sur notre territoire (sur le plan de l’économie comme dans d’autres). Trois événements sont la preuve de cette vitalité forte et enviée de Lacq-Orthez. Aujourd’hui nous avons inauguré de nouveaux locaux pour le centre de recherche et développement de l’entreprise M2i : leader du biocontrôle végétal et premier producteur européen de phéromones pour la lutte biologique. Vendredi dernier, le nouveau préfet a participé à la présentation à la presse d’Alpha chitin : production de chitine et chitosane pour de la pharmacie et de la cosmétique. Jeudi dernier, Toray Carbon Fibers Europe (anciennement SOFICAR) a annoncé la création d’une sixième ligne de production de fibres de carbone sur son site d’Abidos. Notre collectivité est engagée depuis une décennie dans la transition industrielle du territoire à travers la transition écologique et l’indépendance énergétique. Alors qu’il y a quelques années les sites d’anciennes grandes entreprises étaient devenus des maquis à sangliers, ces mêmes friches industrielles profitent d’un renouveau économique : plus vert et créateur d’emplois. D’ici peu le bassin de Lacq devrait compter plus d’emplois industriels qu’au temps de l’extraction du gaz. Les collectivités ne sont pas que des financeurs, elles sont surtout des facilitatrices. Tel est le rôle des élus locaux. Dans la continuité du congrès des maires, j’ai rédigé une tribune parue dans l’édition de samedi dernier de la République des Pyrénées : Les efforts consentis par la municipalité, depuis près de 9 ans, nous permettent d’investir pour tou·te·s, malgré un contexte financier toujours plus complexe pour les collectivités et les citoyen·ne·s. De nombreux projets structurants sont déjà une réalité : équipements sportifs et culturels modernisés, écoles rénovées, espaces publics requalifiés… et habitat diversifié. Lundi, avec Françoise Ramanantsoa notre adjointe en charge des Travaux, de l’Urbanisme et du Renouvellement urbain, nous avons reçu le directeur général de Domofrance, Francis Stéphan, et le président du développement territorial de Domofrance pour les Pyrénées-Atlantiques, Patrick Lacarrere. Le projet de résidence intergénérationnelle porté par Domofrance avance à grands pas ! La démolition du bâtiment de l’ancienne annexe de l’école Victor-Hugo est désormais achevée et le chantier de construction a démarré, pour une livraison en 2023. La résidence comportera 25 logements d’une grande qualité architecturale : 18 adaptés aux séniors autonomes et 7 maisons pour les familles ainsi qu’une salle d’activités. En plus de ce projet majeur, Domofrance va acquérir l’autre partie de l’école Victor-Hugo pour y réaliser des logements sociaux et des logements en accession à la propriété. La création de logements à Mourenx participe au renouvellement urbain que nous avons initié : un habitat adapté dans un cadre de vie harmonieux. Le projet Domofrance à Victor-Hugo est à mettre en lien avec plusieurs autres destinés à diversifier notre parc immobilier. D’ici 2025, ce sont plus d’une centaine de logements neufs qui doivent sortir de terre : la prochaine résidence à la place de la tour des célibataires, les futurs logements séniors place du Pic-du-Midi-d’Ossau (à la place du bâtiment E2 détruit en juillet 2018), le lotissement au Quartier Est… pour ne citer qu’eux. A Mourenx et à la Communauté de Communes (avec le Plan Local de l’Habitat, l’OPAH-RU pour Orthez, l’accompagnement à la rénovation et à l’adaptation des logements, etc.) le logement fait partie de nos priorités. Nous dessinons la ville de demain. Ces projets de solidarité, de coopération et de proximité illustrent le nouveau départ de notre ville. L’énergie se fait rare et son coût ne cesse d’augmenter. Si nous avons pu voir les forces du territoire de Lacq-Orthez qui est pleinement tourné vers les énergies décarbonées avec, entre autres, des industries vertes, nous ne devons pas oublier l’utilité de plus petits gestes mais qui ont aussi de grands effets. Rien qu’à Mourenx, si rien n’est fait, la hausse des prix de l’énergie pourrait être de 500 000 € (alors que notre budget principal est de 9 millions). Pour contrer au maximum cette hausse, nous prenons des mesures. Si l’éclairage des voies publiques est une compétence intercommunale, seuls les maires décident d’allumer, de réduire ou d’éteindre. La CCLO travaille depuis longtemps sur les économies possibles notamment par l’installation de leds (près de 900 pour nos 2300 points lumineux). Depuis quelques années nous y portons une plus grande attention et sensibilisons les élu·e·s à ce sujet. Ces actions de bons sens sont suivies par beaucoup de maires de la CCLO, parfois avec un engagement très fort. A Mourenx, depuis le 21 octobre nous avons décidé de réduire l’intensité sur les axes majeurs (de 25 à 50 %) et d’éteindre, de 22 h 30 à 6 h, dans les zones moins fréquentées. En éteignant ainsi la nuit nous réalisons 40 % d’économies et contribuons à la sobriété énergétique nécessaire afin d’éviter des coupures préjudiciables à tou·te·s. Au-delà de l’éclairage, le chauffage est scruté de près. Il sera abaissé à 19°C dans les bâtiments communaux (Hôtel de Ville, CCAS, foyers associatifs, etc.) et à 20°C dans les écoles. Depuis quelques années nous gérons également mieux notre parc routier. Après avoir converti trois véhicules essence au bioéthanol, nous avons acquis, en août dernier, un troisième véhicule électrique (dédié aux déplacements intra-muros). La ville de Mourenx fait son « Max » face à la crise énergétique, dans la suite de ses engagements majeurs dans la lutte contre le réchauffement climatique et la protection de la biodiversité. Pour vous accompagner, nous avons créé Max, petit personnage sympathique qui déclinera nos actions et vous rappellera les bons gestes et astuces pour que vous aussi vous « fassiez votre Max ! ». Pour en savoir + : www.mourenx.fr
ActualitésTour des Célibataires : foudroyage en vue
Dans une logique écologique de réemploi des matériaux, la pierre d’Arudy des escaliers servira pour la réhabilitation du Belvédère et les gravats de base pour les fondations de la future plate-forme logistique de Lidl à Pardies.
PolitiqueSauvons nos retraites, préservons nos vies
A Pau nous étions 18 500 à manifester, soit 4 500 de plus que le 19 février dernier.
Au-delà de Paris c’est bien la province qui est dans la rue et qui prouve que les Françaises et les Français rejettent cette réforme infondée et néfaste.
Le gouvernement et la puissance publique ne prennent pas la mesure de la dégradation des conditions de vie de millions de Françaises et de Français, alors que d’autres s’enrichissent à outrance sur le dos de ces inégalités.
Politique,
ActualitésLacq-Orthez engagée vers l’avenir
La communauté de communes de Lacq-Orthez est engagée dans ce dispositif national pour coordonner et faciliter le financement du développement urbain des centres-villes des communes de Mourenx et d’Orthez, en cohérence avec notre projet de territoire.
Ce nouveau départ s’illustrera également en 2023 avec la concrétisation de projets structurants.
Les études Petites villes de demain nous accompagnent pour les projets de la place du Béarn (travaux en 2024) et du Belvédère (travaux en 2024 – 2025).
La place du Béarn souffre d’un manque de visibilité, d’une faible fréquentation et d’une réhabilitation autrefois peu réussie. Son projet de réaménagement vise à améliorer la sécurité des piétons (en supprimant les pavés très accidentogènes), à créer un îlot de fraicheur et à valoriser les nombreux commerces et services à proximité.
Quant au Belvédère il redeviendra un phare de la réussite de tout le Bassin.
D’abord le cœur de ville où l’objectif est de développer l’attractivité via notamment l’OPAH-RU (Opération programmée d’amélioration de l’habitat et de renouvellement urbain), pilotée par la CCLO : rénovation de 120 logements et 5 copropriétés, en accompagnant financièrement et techniquement les propriétaires.
Puis le secteur Foirail-Lapeyrère avec le souhait de créer un pôle culturel et associatif. Avec le réaménagement, par la CCLO, de l’est du parking du Foirail, cet espace public bénéficie désormais d’une liaison douce piétons et vélos. Au passage reliant actuellement la médiathèque au secteur Lapeyrère, la ville projette de créer une maison des associations.
ActualitésLacq-Orthez est (aussi) un acteur majeur de l’hydroélectricité
En cette période où des risques demeurent sur les capacités énergétiques du pays, il est important de se soucier aussi de ces infrastructures de production d’énergie verte.
Sa production doit être plus ambitieuse en France, en bénéficiant d’investissements pour les infrastructures actuelles.
Et pourquoi pas en créer de nouveaux ? Nous disposons désormais de moyens plus respectueux de l’environnement pour les réaliser et de mesures de protection de la biodiversité lors de leur utilisation. Cette réflexion doit être menée par les pouvoirs publics, les entreprises du secteur et bien sûr les élus locaux et les associations.Unanimes pour notre avenir
Malgré un contexte économique compliqué, le choix de la CCLO est de maintenir son niveau d’investissement en continuant d’assumer toutes ses missions de service public et sans augmentation de la fiscalité.
Depuis le début de la mandature, le budget a toujours été voté à l’unanimité comme tant de délibérations majeures. Tout ceci est la preuve du climat serein qui règne enfin.
Nous sommes pleinement acteurs dans l’indépendance énergétique, en produisant l’équivalent de la consommation électrique annuelle de 61 500 habitants. Tout ceci grâce, notamment, à nos investissements dans les centrales solaires de Pardies-Noguères-Mourenx-Bésingrand et le méthaniseur de Mourenx. Des projets tant décriés il y a encore peu et qui désormais nous placent en avance.
Nous sommes aussi acteurs de la transition écologique, en étant tourné vers l’accueil d’industries plus vertes. Les projets prennent vie, les investissements se comptent en millions d’euros et des emplois se créent. Il suffit simplement de rappeler ce qui s’est passé ces dernières semaines : une nouvelle ligne de production pour Toray, le lancement de la production chez Alpha chitin (lauréat de France 2030) et l’inauguration de nouveaux locaux pour M2i.
A ces bonnes nouvelles s’ajoute le retour des animations culturelles, sportives, commerçantes, caritatives…
Politique,
ActualitésQue de bonnes nouvelles économiques pour notre territoire et pour tou·te·s
Ces locaux se trouvent au sein de la troisième extension de Chemstart’up à Lacq, réalisée sous maîtrise d’ouvrage de la CCLO. D’un coût total de 4,5 millions d’euros, notre intercommunalité l’a financée à hauteur de 2,5 millions pour y accueillir également ARKEMA et CANOE. La plateforme Chemstart’up accueille désormais 85 emplois.
Leur site de production nouvellement installé à Lacq représente un investissement de 30 millions d’euros, créateur d’une cinquantaine d’emplois, pour lequel l’entreprise a bénéficié d’aides de la CCLO.
Ce matériau contribue à réduire de manière considérable le poids des mobilités aéronautiques, diminuant ainsi la consommation de carburants et leurs émissions.
Ce nouvel investissement de près de 100 millions d’euros s’accompagnera de 50 à 60 emplois supplémentaires.
Loin de Paris où nos gouvernants et législateurs annoncent tant de choses mais en font si peu, ce sont les élus de terrains qui sont au travail tous les jours pour l’emploi dans leurs territoires et les services proposés aux administrés.
La CCLO est à l’écoute et accompagne, c’est ce qui fait notre réussite actuelle.Les maires entre colère et détermination pour leur action publique
(Si vous ne parvenez pas à lire l’article, cliquez sur la photo pour l’afficher au format pdf.)
Politique,
ActualitésMourenx diversifie son parc immobilier
ActualitésMourenx fait son « Max » face à la crise énergétique
Ces diminutions ne réduisent pas le bien-être des occupants et permettent des économies conséquentes. Chaque degré de moins c’est 7 % d’économie sur la consommation.